Walking on sunshine.
Ça faut des semaines que je me dis "Allez, tu tiens le coup jusqu’à l’AG", "jusqu’au Conseil", "jusqu’au déménagement", "jusqu’à la signature du contrat"...
Je tire sur la corde un peu plus à chaque fois…
L’autre soir, Tori a été malade.
Elle a vomi tripes et boyaux pendant 2 bonnes heures.
Je suis restée près d’elle une très large partie de la nuit. J’étais complètement à côté de la plaque le matin.
Josh ne voulait pas prendre sa journée enfant malade et moi, j’ai plus de congés. Il me fallait un accord pour du sans solde.
Dans mon lit, à 4h19, quand j’ai regardé l’heure pour la dernière fois avant de sombrer, je me disais que si j’avais le poids du travail en moins, ce serait un tel soulagement…
Au final...gastro. On y est tous passés. Voilà.
J’ai toujours mes projets dans ma tête.
Il faut que je détermine un plan d’actions. Vite. Parce que quand j’y réfléchis, ma vie n’est plus aussi exaltante qu’elle a pu l’être.
J’ai besoin d’un projet qui me porte. J’ai besoin de temps.
VITE.
Déjà, dans mon modus operandi, il faut que j’arrive à trouver le courage de tout ranger, vider, laver dans l’appartement...et ça, c’est pas gagné... !
Je me sens beaucoup trop encombrée ici. Besoin de faire le vide.